Des mutilations de bétail signalées au nord de la Georgie (USA)

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Quelque chose ou quelqu’un
est en train de mutiler du bétail sur la ferme des Cooper. Deux fois
depuis la fin septembre, des bovins ont été retrouvés morts, avec des
parties du corps enlevées avec une précision apparemment chirurgicale,
déclare Kathy Cooper, qui avec son mari, John, gère un, élevage de
bovins de 250 acres à South Hall près de Union Church Road. Maintenant
ils veulent savoir qui fait ça et pourquoi.


« Nous ne savons vraiment pas » dit Kathy Cooper. « ça fait peur, parce
que je sais qu’ils doivent descendre là bas à pieds. C’est une
gigantesque pâture. Dans une opération sur un troupeau de la taille du
leur – ils ont plus de 200 têtes – il est inhabituel qu’une vache ou
deux meure dans le champ aussi souvent, déclare Cooper.

Mais lorsque son mari a trouvé une vache
morte, le pi découpé en cercle, il ne s’agissait pas d’un cas ordinaire
de décomposition d’animal. Deux semaines plus tard, il a trouvé un veau
âgé de sept mois, avec une partie de ses organes génitaux manquants.
Cette semaine les enquêteurs du Sheriff de la région de Hall se sont
rendus sur la ferme.

«J’espérais que je pourrais avoir un peu
de clairvoyance quant à savoir si cela avait à voir avec le culte
diable ou du Voodoo », explique Cooper.
Pas de chance.

Les fonctionnaires du shérif enquêtent
toujours sur les mutilations mais n’ont pas de suspects, déclare le
colonel Jeff Strickland.

La mutilation de bétail est un phénomène
qui a été signalé à travers le pays au moins depuis les années
soixante. Il a même son propre nom « excision bovine ». Et en dépit
d’enquêtes gouvernementales en profondeur dignes de la série télévisée
des années 90 « Xfiles », il n’y a jamais eu d’explication claire.
Tandis que les théories ont varié des cultes bizarres de buveurs de sang
aux extraterrestres, certains croient que les mutilations sont en
réalité faites par de petits animaux ou des insectes qui mangent
certaines parties du corps et en laissent la plupart intacte.

Bien, que Cooper est convaincu que les
décès les plus récents ne sont pas le travail d’un animal. « Je suis à
100% sur le dernier », dit elle. Les Cooper ont aussi été victimes de
vandales auparavant. L’an dernier quelqu’un a abattu quatre de leur
vaches et n’a jamais été pris. Cooper dit qu’elle aimerait savoir si les
autres fermiers de la région ont eu des problèmes similaires. Sinon,
« ce sera juste à nous d’en trouver un autre et essayer d’obtenir plus
d’indices, » dit elle. « Nous savons que quelqu’un ne fait rien de bon,
mais nous ne savons pas pourquoi ils font cela ».