A la lumière de l'ADN
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A la lumière de l'ADN
Le code de l’ADN :
La double hélice d’acide désoxyribonucléique (ADN) est le support de l’information génétique. Cette molécule est une sorte de cristal apériodique dont la structure même permet de stocker l’information nécessaire au fonctionnement d’un organisme.
Exception faite de certains virus, l’ADN de tous les êtres vivants est codé à l’aide de seulement quatre substances chimiques, connues sous le nom de bases : l’adénine, la thymine, la cytosine et la guanine (A,T,C,G). Ces quatre bases se combinent de façon à composer la structure de l’ADN dont les dimensions sont astronomiques : trois milliards de paires de bases. Un fil d’ADN contenu dans le noyau d’une cellule humaine correspond à un fil de deux mètres dont le diamètre mesure à peine une dizaine d’atomes.
De ces sept milliards de lettres TCAG, seulement quelque 5% seraient utiles. Les autres 95 % sont souvent nommés « ADN poubelle ». Et les généticiens ont choisi d’en ignorer l’existence.
Mais certains chercheurs comme Jean-Claude Perez ne sont pas de cet avis. D’après ses études, la structure de l’ADN obéit précisément aux suites des nombres de Fibonacci et de Lucas. J-C Perez mis en évidence un » supra code de l’ADN » qui contrôle les séquences de nucléotides tout au long des brins d’ADN. Pour une vingtaine de génomes natifs étudiés (allant du ver de terre au crocodile et aux singes ou humains), on découvre effectivement un grand nombre de résonances qui sont la marque de ce code. De façon plus générale, l’architecture structurelle de l’ADN suit un ordre fractal, caractéristique des organisations qui, de par leur immensité, nous paraissent dépourvues de sens (voir le sujet sur la Loi universelle).
L’ADN mis en lumière :
D’autres personnes, comme l’anthropologue Jeremy Narby de l’université de Stanford, portent notre attention sur une caractéristique de l’ADN : sa capacité à émettre des photons. La longueur d’onde à laquelle l’ADN émet ces photons correspond exactement à la bande étroite de la lumière visible, de l’infrarouge (900 nano-mètres) à l’ultraviolet (200 nano-mètres). Cette émission a pour particularité d’exhiber un degré étonnement élevé de cohérence, comparable à celle d’un laser. La cohérence dépend de la régularité du débit des photons, et non de son intensité. Une source de lumière cohérente, comme un laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi qu’un sentiment de profondeur holographique. J. Narby fait le lien entre ces caractéristiques et les sensations éprouvées lors d’expériences hallucinogènes. Pour lui, les photons émis par l’ADN sont tout simplement perçus par les chamans, aidés en cela par des mixtures hallucinogènes. Il bute néanmoins sur un obstacle de taille, celui qui consiste à faire le lien entre ces visions et la conscience, les connaissances acquises par les expériences des chamans.
On pourrait aussi appliquer cette théorie, comme aimerait le faire Jacques Vallée, aux cas des enlèvements extra-terrestres, comme il l’écrit dans Confrontation : « C’est une nouvelle forme de conscience qui émerge et qui arrive à manipuler notre perception de la réalité… ».
Roy, un abducté de Caroline du Nord est un homme d’affaires dynamique, passionné de golf et de nature. Il décrit ainsi ses enlèvements sans avoir recourt à l’hypnose :
» Tout est normal, puis « ils » arrivent. Alors j’ai l’impression que le paysage, mon paysage n’est qu’une illusion : c’est un écran sur lequel est projeté un environnement factice que nous prenons pour vrai. Et cet écran devient de plus en plus transparent, laissant apercevoir derrière un autre paysage, une autre réalité, beaucoup plus vraie, plus colorée, plus lumineuse, qui efface progressivement ma réalité. Enfin l’écran s’efface totalement et je suis de plain-pied ailleurs. Quand je reviens, le phénomène inverse se produit et je me retrouve comme avant. Je sais qu’il m’est donné de voir la vraie nature de l’univers, mais c’est une certitude dont je ne peux parler sous peine de perdre tout crédit. «
On retrouve dans de nombreux témoignages de ravis des perceptions qui tendent à défier toutes les lois physiques de la réalité telle que nous la percevons. Mais il existe des preuves physiques telles que les scoop mark (marques rondes en creux qui pourraient correspondre à un prélèvement de chair), les implants, les missing times dont des témoins directes rendent comptes, les traces laissées par les OVNI sur le sol ou sur les pellicules. Là encore, nous sommes obligés d’écarter la possibilité que ces manifestations soient de pures illusions provoquées par une cascade de réactions électrochimiques à l’intérieur des neurones, aboutissant à l’excitation de l’ADN et stimulant, entre autres, son émission d’ondes visibles.
Radio ADN :
Le généticien Maxim Frank-Kamenetskii écrit au sujet de l’ADN dans Unraveling DNA, en 1993 : « Les paires de bases sont arrangées comme un cristal. Cependant, il s’agit d’un cristal linéaire et unidimensionnel, où chaque paire de bases est entourée par seulement deux voisines. »
Les quatre bases de l’ADN sont hexagonales, à l’image des cristaux de quartz. Ces derniers sont composés d’un arrangement extrêmement régulier d’atomes, qui vibre à une fréquence très stable. Ces particularités font de lui un excellent récepteur et émetteur d’ondes électromagnétiques. C’est pourquoi il est utilisé à profusion dans les radios, les montres, les téléphones portables et la plupart des technologies électroniques.
Le tiers du génome est constitué de séquences répétitives où l’ADN devient un arrangement régulier d’atomes, c’est à dire un cristal périodique qui, par analogie avec le quartz, est capable de capter autant de photons qu’il en émet. Selon le microbiologiste E. Guillé, ces séquences redondantes fonctionnent comme des émetteurs et des récepteurs de fréquences électromagnétiques (mises en évidence par le procédé Kirlian), ce qui constituerait une nouvelle fonction possible pour une partie de l’ADN poubelle.
Ce n’est certainement pas un hasard si comme l’écrit l’anthropologue Gerardo Reichel-Dolmatoff (Desana Shaman’s Rock Crystals and the Hexagonal Universe, 1979) : « Les cristaux de quartz, ou cristaux de roche transparente ont joué un rôle majeur dans les croyances et les pratiques chamaniques à de nombreux moments de l’histoire et dans de nombreux endroits du monde. Ils ont souvent été trouvés sur des sites préhistoriques; (…) ils étaient proéminents dans l’alchimie de l’Ancien Monde, en sorcellerie et en magie (…) ».
Toutes les technologies des moyens de communication et du traitement de l’information transmettent les informations sous une forme quelconque de séquences ou de fréquences. Les cristaux de quartz serviraient donc de récepteur aux émissions bio photoniques dans lesquelles ces dernières se matérialiseraient. Les esprits seraient donc bien des êtres de lumière (les photons) et, à en croire les chamans, leur connaissance leur viendrait de ces esprits.
Le Dr C. D. Broad, philosophe a Cambridge, déclare sous la plume de Aldous Huxley : « Toute personne est, à tout moment, capable de se souvenir de tout ce qui lui est jamais arrivé, et de percevoir tout ce qui se produit partout dans l’univers. La fonction du cerveau et du système nerveux est de nous empêcher d’être submergés et confus sous cette masse de connaissances en grande partie inutile et incohérente, en interceptant la majeure partie de ce que, sans cela, nous percevrions ou nous rappellerions à tout instant, et ne laissant que ce choix très réduit et spécial qui a des chances d’être utile en pratique ».
Aldous Huxley commente ce passage en déclarant que selon une théorie de ce genre, chacun de nous est, en puissance, « l’Esprit en Général ».
Dernières nouvelles :
Le travail de décryptage du génome humain a défrayé la chronique ces derniers jours. Francis Collins, directeur américain du projet HUGO, un projet de recherche public réunissant 18 pays depuis dix ans, a récemment joint ses efforts à ceux de Craig Venter, président de Celera Genomics, une firme privée américaine qui s’est lancée dans la mêlée il y a deux ans à peine, mais avec des techniques plus rapides. Les détails de cette entente sont inconnus, ce qui est inquiétant quand on pense qu’une guerre économique mettant en jeu d’immenses perspectives thérapeutiques est sur le point d’être menée, mais aussi que l’on est en train de percer le secret de ce qui peut séparer n’importe quel être vivant sur terre de l’homme.
Nous pouvons tout de même nous rassurer en nous disant que malgré que 97% du génome humain ait été cartographié, sous forme de lettres éparses (A, T, C, G), seulement 85% des ces résultats ont pu être mis en ordre. De plus, il reste encore des trous, des incertitudes et il faut prendre des échantillons de plusieurs personnes avant de constituer la carte d’un individu type.
Pour toutes ces raisons, seuls 24% du génome sont considérés comme véritablement achevés. Le travail devrait être terminé au plus tard en 2003.
En ce qui concerne les plantes génétiquement modifiées, Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands producteurs de semences au monde, admet que jusqu’à 15% des récoltes de maïs en Europe pourraient rentrer dans cette catégorie. Bien que n’ayant pas été cultivé directement sous l’étiquette OGM, le pollen transgénique apporté par le vent ou par les machines, qui manipulent indifféremment tous les types de graines, se serait chargé de faire le travail. Les études préliminaires de John Heritage, de l’Université de Leed en Grande-Bretagne, semblent indiquer que les modifications génétiques ont du mal à passer la barrière des espèces. Mais Hans-Heinrich Kaatz, de l’Université d’Iéna, en Allemagne, nous démontre exactement le contraire après une étude de trois années sur les abeilles. Le zoologiste a découvert que les bactéries et les levures que l’on trouve dans leurs intestins contenaient un gène de résistance aux herbicides qui a été introduit dans certaines variétés de colza, un gène provenant de plantes génétiquement modifiées qui n’a rien à faire là où il l’a trouvé !
Nous nous devons de garder à l’esprit les travaux de Randy Bennett, de l’Université Brigham Young, en Utah, aux États-Unis, avant de prendre des risques inconsidérés. Son équipe de recherche a réussi à démontrer l’importance de certains gènes en les désactivant. L’expérience a été réalisée sur des insectes dont les larves ainsi obtenues ont commencé à produire un nombre de pattes anormalement élevé, quoique ne fonctionnant pas très bien. Ces pattes en surplus poussaient sur toutes les parties du corps, et pas seulement sur le thorax, comme c’est la norme chez les insectes. Cette découverte rappelle que les gènes ont des interactions complexes : en modifier un seul peut affecter le comportement de plusieurs autres.
Si l’on a fait grand bruit de l’annonce du décryptage du génome humain, qui, comme on l’a vu, est en fait loin d’être décrypté, on a passé sous silence un progrès dans la recherche génétique qui devrait faire plaisir aux eugénistes. Des chercheurs américains de l’Institut de recherche Scripps, en Californie, dirigés par Floyd Romesberg, sont parvenus à assembler des paires de bases artificielles. Par ce moyen, ils sont parvenus à créer des acides aminés inusités, débouchant à leur tour sur des protéines inédites dans la nature, ajoutant en quelque sorte des lettres à l’alphabet de la vie. Le but consiste à insérer cet ADN inédit dans des bactéries afin qu’elles produisent des protéines complètement nouvelles, très différentes de ce que produisent les êtres vivants ordinaires. On se dirige donc vers la fabrication de protéines de synthèse qui donneront donc des cellules de synthèses, qui à leur tour composeront un jour des êtres vivant de synthèse. L’eugénisme, qui se défini par l’amélioration du patrimoine génétique humain, est amplement supplanté par ces derniers progrès(?) scientifiques qui nous laissent entrevoir la possibilité d’une génération de créatures de synthèse. Ces dernières découvertes sont terriblement inquiétantes quant à l’avenir de la nature biologique de l’homme, surtout lorsque l’on apprend que la revue New Scientist n’hésite pas à affirmer que de telles substances pourraient être fort utiles en médecine ou en chimie.
Ces découvertes ont au moins un avantage, celui de redonner du crédit aux théories de Zecharia Sitchin.
Sources :
J-C Perez, Planète transgénique, L’espace bleu, 1997 ou http://sapiensweb.free.fr/articles/2-perez2.htm
J-C Perez, L’ADN décrypté, Editions Marco Pietteur (39 Av du centenaire, B-4053 EMBOURG Belgique (1997), ISBN 2-87211-017-
Aldous Huxley, Les portes de la perception, Éditions du Rocher, 2000
Jeremy Narby, Le Serpent cosmique, l’ADN et les origines du savoir, Georg éditeur, 1997
Marie-Thérèse de Brosses, Enquête sur les enlèvements extraterrestres, Éditions J’ai lu, Plon 1995
Efferve Sciences, Trimestriel n°15, Juillet-Août-Septembre 2000
Cybersciences
Lien intéressant : http://terresacree.org/conscience.htm
Source
La double hélice d’acide désoxyribonucléique (ADN) est le support de l’information génétique. Cette molécule est une sorte de cristal apériodique dont la structure même permet de stocker l’information nécessaire au fonctionnement d’un organisme.
Exception faite de certains virus, l’ADN de tous les êtres vivants est codé à l’aide de seulement quatre substances chimiques, connues sous le nom de bases : l’adénine, la thymine, la cytosine et la guanine (A,T,C,G). Ces quatre bases se combinent de façon à composer la structure de l’ADN dont les dimensions sont astronomiques : trois milliards de paires de bases. Un fil d’ADN contenu dans le noyau d’une cellule humaine correspond à un fil de deux mètres dont le diamètre mesure à peine une dizaine d’atomes.
De ces sept milliards de lettres TCAG, seulement quelque 5% seraient utiles. Les autres 95 % sont souvent nommés « ADN poubelle ». Et les généticiens ont choisi d’en ignorer l’existence.
Mais certains chercheurs comme Jean-Claude Perez ne sont pas de cet avis. D’après ses études, la structure de l’ADN obéit précisément aux suites des nombres de Fibonacci et de Lucas. J-C Perez mis en évidence un » supra code de l’ADN » qui contrôle les séquences de nucléotides tout au long des brins d’ADN. Pour une vingtaine de génomes natifs étudiés (allant du ver de terre au crocodile et aux singes ou humains), on découvre effectivement un grand nombre de résonances qui sont la marque de ce code. De façon plus générale, l’architecture structurelle de l’ADN suit un ordre fractal, caractéristique des organisations qui, de par leur immensité, nous paraissent dépourvues de sens (voir le sujet sur la Loi universelle).
L’ADN mis en lumière :
D’autres personnes, comme l’anthropologue Jeremy Narby de l’université de Stanford, portent notre attention sur une caractéristique de l’ADN : sa capacité à émettre des photons. La longueur d’onde à laquelle l’ADN émet ces photons correspond exactement à la bande étroite de la lumière visible, de l’infrarouge (900 nano-mètres) à l’ultraviolet (200 nano-mètres). Cette émission a pour particularité d’exhiber un degré étonnement élevé de cohérence, comparable à celle d’un laser. La cohérence dépend de la régularité du débit des photons, et non de son intensité. Une source de lumière cohérente, comme un laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi qu’un sentiment de profondeur holographique. J. Narby fait le lien entre ces caractéristiques et les sensations éprouvées lors d’expériences hallucinogènes. Pour lui, les photons émis par l’ADN sont tout simplement perçus par les chamans, aidés en cela par des mixtures hallucinogènes. Il bute néanmoins sur un obstacle de taille, celui qui consiste à faire le lien entre ces visions et la conscience, les connaissances acquises par les expériences des chamans.
On pourrait aussi appliquer cette théorie, comme aimerait le faire Jacques Vallée, aux cas des enlèvements extra-terrestres, comme il l’écrit dans Confrontation : « C’est une nouvelle forme de conscience qui émerge et qui arrive à manipuler notre perception de la réalité… ».
Roy, un abducté de Caroline du Nord est un homme d’affaires dynamique, passionné de golf et de nature. Il décrit ainsi ses enlèvements sans avoir recourt à l’hypnose :
» Tout est normal, puis « ils » arrivent. Alors j’ai l’impression que le paysage, mon paysage n’est qu’une illusion : c’est un écran sur lequel est projeté un environnement factice que nous prenons pour vrai. Et cet écran devient de plus en plus transparent, laissant apercevoir derrière un autre paysage, une autre réalité, beaucoup plus vraie, plus colorée, plus lumineuse, qui efface progressivement ma réalité. Enfin l’écran s’efface totalement et je suis de plain-pied ailleurs. Quand je reviens, le phénomène inverse se produit et je me retrouve comme avant. Je sais qu’il m’est donné de voir la vraie nature de l’univers, mais c’est une certitude dont je ne peux parler sous peine de perdre tout crédit. «
On retrouve dans de nombreux témoignages de ravis des perceptions qui tendent à défier toutes les lois physiques de la réalité telle que nous la percevons. Mais il existe des preuves physiques telles que les scoop mark (marques rondes en creux qui pourraient correspondre à un prélèvement de chair), les implants, les missing times dont des témoins directes rendent comptes, les traces laissées par les OVNI sur le sol ou sur les pellicules. Là encore, nous sommes obligés d’écarter la possibilité que ces manifestations soient de pures illusions provoquées par une cascade de réactions électrochimiques à l’intérieur des neurones, aboutissant à l’excitation de l’ADN et stimulant, entre autres, son émission d’ondes visibles.
Radio ADN :
Le généticien Maxim Frank-Kamenetskii écrit au sujet de l’ADN dans Unraveling DNA, en 1993 : « Les paires de bases sont arrangées comme un cristal. Cependant, il s’agit d’un cristal linéaire et unidimensionnel, où chaque paire de bases est entourée par seulement deux voisines. »
Les quatre bases de l’ADN sont hexagonales, à l’image des cristaux de quartz. Ces derniers sont composés d’un arrangement extrêmement régulier d’atomes, qui vibre à une fréquence très stable. Ces particularités font de lui un excellent récepteur et émetteur d’ondes électromagnétiques. C’est pourquoi il est utilisé à profusion dans les radios, les montres, les téléphones portables et la plupart des technologies électroniques.
Le tiers du génome est constitué de séquences répétitives où l’ADN devient un arrangement régulier d’atomes, c’est à dire un cristal périodique qui, par analogie avec le quartz, est capable de capter autant de photons qu’il en émet. Selon le microbiologiste E. Guillé, ces séquences redondantes fonctionnent comme des émetteurs et des récepteurs de fréquences électromagnétiques (mises en évidence par le procédé Kirlian), ce qui constituerait une nouvelle fonction possible pour une partie de l’ADN poubelle.
Ce n’est certainement pas un hasard si comme l’écrit l’anthropologue Gerardo Reichel-Dolmatoff (Desana Shaman’s Rock Crystals and the Hexagonal Universe, 1979) : « Les cristaux de quartz, ou cristaux de roche transparente ont joué un rôle majeur dans les croyances et les pratiques chamaniques à de nombreux moments de l’histoire et dans de nombreux endroits du monde. Ils ont souvent été trouvés sur des sites préhistoriques; (…) ils étaient proéminents dans l’alchimie de l’Ancien Monde, en sorcellerie et en magie (…) ».
Toutes les technologies des moyens de communication et du traitement de l’information transmettent les informations sous une forme quelconque de séquences ou de fréquences. Les cristaux de quartz serviraient donc de récepteur aux émissions bio photoniques dans lesquelles ces dernières se matérialiseraient. Les esprits seraient donc bien des êtres de lumière (les photons) et, à en croire les chamans, leur connaissance leur viendrait de ces esprits.
Le Dr C. D. Broad, philosophe a Cambridge, déclare sous la plume de Aldous Huxley : « Toute personne est, à tout moment, capable de se souvenir de tout ce qui lui est jamais arrivé, et de percevoir tout ce qui se produit partout dans l’univers. La fonction du cerveau et du système nerveux est de nous empêcher d’être submergés et confus sous cette masse de connaissances en grande partie inutile et incohérente, en interceptant la majeure partie de ce que, sans cela, nous percevrions ou nous rappellerions à tout instant, et ne laissant que ce choix très réduit et spécial qui a des chances d’être utile en pratique ».
Aldous Huxley commente ce passage en déclarant que selon une théorie de ce genre, chacun de nous est, en puissance, « l’Esprit en Général ».
Dernières nouvelles :
Le travail de décryptage du génome humain a défrayé la chronique ces derniers jours. Francis Collins, directeur américain du projet HUGO, un projet de recherche public réunissant 18 pays depuis dix ans, a récemment joint ses efforts à ceux de Craig Venter, président de Celera Genomics, une firme privée américaine qui s’est lancée dans la mêlée il y a deux ans à peine, mais avec des techniques plus rapides. Les détails de cette entente sont inconnus, ce qui est inquiétant quand on pense qu’une guerre économique mettant en jeu d’immenses perspectives thérapeutiques est sur le point d’être menée, mais aussi que l’on est en train de percer le secret de ce qui peut séparer n’importe quel être vivant sur terre de l’homme.
Nous pouvons tout de même nous rassurer en nous disant que malgré que 97% du génome humain ait été cartographié, sous forme de lettres éparses (A, T, C, G), seulement 85% des ces résultats ont pu être mis en ordre. De plus, il reste encore des trous, des incertitudes et il faut prendre des échantillons de plusieurs personnes avant de constituer la carte d’un individu type.
Pour toutes ces raisons, seuls 24% du génome sont considérés comme véritablement achevés. Le travail devrait être terminé au plus tard en 2003.
En ce qui concerne les plantes génétiquement modifiées, Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands producteurs de semences au monde, admet que jusqu’à 15% des récoltes de maïs en Europe pourraient rentrer dans cette catégorie. Bien que n’ayant pas été cultivé directement sous l’étiquette OGM, le pollen transgénique apporté par le vent ou par les machines, qui manipulent indifféremment tous les types de graines, se serait chargé de faire le travail. Les études préliminaires de John Heritage, de l’Université de Leed en Grande-Bretagne, semblent indiquer que les modifications génétiques ont du mal à passer la barrière des espèces. Mais Hans-Heinrich Kaatz, de l’Université d’Iéna, en Allemagne, nous démontre exactement le contraire après une étude de trois années sur les abeilles. Le zoologiste a découvert que les bactéries et les levures que l’on trouve dans leurs intestins contenaient un gène de résistance aux herbicides qui a été introduit dans certaines variétés de colza, un gène provenant de plantes génétiquement modifiées qui n’a rien à faire là où il l’a trouvé !
Nous nous devons de garder à l’esprit les travaux de Randy Bennett, de l’Université Brigham Young, en Utah, aux États-Unis, avant de prendre des risques inconsidérés. Son équipe de recherche a réussi à démontrer l’importance de certains gènes en les désactivant. L’expérience a été réalisée sur des insectes dont les larves ainsi obtenues ont commencé à produire un nombre de pattes anormalement élevé, quoique ne fonctionnant pas très bien. Ces pattes en surplus poussaient sur toutes les parties du corps, et pas seulement sur le thorax, comme c’est la norme chez les insectes. Cette découverte rappelle que les gènes ont des interactions complexes : en modifier un seul peut affecter le comportement de plusieurs autres.
Si l’on a fait grand bruit de l’annonce du décryptage du génome humain, qui, comme on l’a vu, est en fait loin d’être décrypté, on a passé sous silence un progrès dans la recherche génétique qui devrait faire plaisir aux eugénistes. Des chercheurs américains de l’Institut de recherche Scripps, en Californie, dirigés par Floyd Romesberg, sont parvenus à assembler des paires de bases artificielles. Par ce moyen, ils sont parvenus à créer des acides aminés inusités, débouchant à leur tour sur des protéines inédites dans la nature, ajoutant en quelque sorte des lettres à l’alphabet de la vie. Le but consiste à insérer cet ADN inédit dans des bactéries afin qu’elles produisent des protéines complètement nouvelles, très différentes de ce que produisent les êtres vivants ordinaires. On se dirige donc vers la fabrication de protéines de synthèse qui donneront donc des cellules de synthèses, qui à leur tour composeront un jour des êtres vivant de synthèse. L’eugénisme, qui se défini par l’amélioration du patrimoine génétique humain, est amplement supplanté par ces derniers progrès(?) scientifiques qui nous laissent entrevoir la possibilité d’une génération de créatures de synthèse. Ces dernières découvertes sont terriblement inquiétantes quant à l’avenir de la nature biologique de l’homme, surtout lorsque l’on apprend que la revue New Scientist n’hésite pas à affirmer que de telles substances pourraient être fort utiles en médecine ou en chimie.
Ces découvertes ont au moins un avantage, celui de redonner du crédit aux théories de Zecharia Sitchin.
Sources :
J-C Perez, Planète transgénique, L’espace bleu, 1997 ou http://sapiensweb.free.fr/articles/2-perez2.htm
J-C Perez, L’ADN décrypté, Editions Marco Pietteur (39 Av du centenaire, B-4053 EMBOURG Belgique (1997), ISBN 2-87211-017-
Aldous Huxley, Les portes de la perception, Éditions du Rocher, 2000
Jeremy Narby, Le Serpent cosmique, l’ADN et les origines du savoir, Georg éditeur, 1997
Marie-Thérèse de Brosses, Enquête sur les enlèvements extraterrestres, Éditions J’ai lu, Plon 1995
Efferve Sciences, Trimestriel n°15, Juillet-Août-Septembre 2000
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Date d'inscription : 09/02/2009
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